Suzane + The Doug

Archivé
Scène française
Le 29 septembre
© Laura Gilli

Électron libre de cette nouvelle scène électro/chanson, Suzane étouffe les évidences et chante ce que nous sommes.

Des Victoires de la musique à l’Olympia en passant par les plus gros festivals, Suzane chante son époque avec une énergie fédératrice et émouvante à souhait. D’espoir, elle est devenue phénomène. Elle a la jeunesse lucide et libre, les mots et le corps comme moyens d’expression.

Suzane se définit elle-même comme une «conteuse d’histoires vraies sur fond d’électro». Les chansons de Suzane, c’est le regard d’une jeune femme d’aujourd’hui, à l’heure des addictions vertigineuses et des écrans noirs, des doutes et des espoirs. C’est assez saisissant et furieusement vivant. Sa musique est dépouillée, elle n’a pas besoin d’effets spéciaux pour viser le cœur. Il y a souvent un beat, des drops, des ambiances qui se croisent ou se mêlent ou se confrontent. Et les mots donc.

Suzane n’a pas besoin d’effets spéciaux pour viser le cœur.

Pour panser ses écorchures, soigner ses maux et dessiner les grands rêves d’une génération, The Doug a choisi une guitare toute nue pour écrire un rap virevoltant autour de la chanson française, où l’on décèle ici et là un jeune Bashung, les premières heures d’un Fauve ou d’un Feu! Chatterton. A tout juste 20 ans, l’introspection et le voyage intérieur sont autant d’inspirations qui nourrissent le jeune Clermontois. Produit par Zicol et l’Épicerie de Nuit, qui ont su saisir cette sensibilité à fleur de peau et préserver ce vrai talent d’écriture, The Doug se dévoile aussi bien sur scène qu’à l’écran, illuminant d’une grâce fragile des clips minimalistes et crépusculaires.

Artiste Suzane
Régie générale Katharina Parolo
Régie technique Basile Rousseau
Son face Flavien Cerisier / Francesco Papaleo
Son retours Justine Candiot
Régie lumière Arthur Cresté / Mikael Trochu
Assistante lumière Estelle Jalinie