Chanson
mer.i 3 à 20h30 / jeu. 4 à 19h30 / ven. 5 mai à 20h30
3 soirées d'exception, dans l'intimité du Club Café, en compagnie de 2 magnifiques interprètes.
|
|
Pépite folk incandescente, Lonny, à la fois chanteuse, songwriteuse et musicienne chevronnée, livre en trio un univers captivant de poésie et mélancolie.
|
Musicienne chevronnée, Lonny aurait pu choisir la familiarité de l'alto dont elle joue depuis petite, mais le son qui court le long de sa colonne vertébrale, celui par lequel elle tient debout, c’est la folk qu'on entend chez Gillian Welch ou Laura Marling.
Ses chansons naissent d'une rupture qui a figé Lonny quelque part en bordure du monde. De cette expérience à la fois bouleversante et fondatrice, elle a conçu un folk empathique mais intransigeant, d’une langue française entoilée de paysages normands ou québécois, et de métaphores (de la prostration, du deuil, de la reconquête d'une féminité…).
Lonny, variation autour d’”alone” en anglais, prouve que la solitude, loin des lieux communs, peut être le terreau d'un nouveau départ.
|
|
Caressant beaucoup de genres musicaux en échappant à tout formatage, Marcia Higelin est déterminée à réaliser son destin : rejoindre par la voix et l’écriture une lignée d’artistes incomparables.
|
|
Elle a un nom de famille mais pas seulement, elle a une voix magnifique et une technique remarquable avec cet instrument. Elle apporte quelque chose de bestial sur scène et enchante facilement son public. Elle aime tout autant les polyphonies corses que le blues, le fado ou le jazz vocal. Son premier single était une balade soul en anglais, le second un chant choral en langue africaine, et puis finalement son premier EP donne dans la chanson française – mais habilement mêlée à tous les styles précités. Identifiable d’entrée de jeu par son patronyme, Marcia Higelin aime brouiller les pistes, et peut-être encore plus justement parce qu’elle est « fille de » (Arthur H) et « petite-fille de » (Jacques Higelin).
|
Indépendante voire indomptable, la chanteuse a surtout une voix qui n’appartient qu’à elle : aussi belle dans les aigus que les graves.
|
|
