magenta + requin chagrin

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Electro / Pop rock
Le 26 novembre
© Gabriel Boyer / © Andrea Montano

L’ex-groupe Fauve # renaît en Magenta et prend un surprenant mais très réussi virage vers des contrées électro-pop. Un changement de nom et de style mais toujours les mêmes paroles hypnotiques, fiévreuses, remplies de spleen et de désillusions.
Requin Chagrin cache un animal à la dent dure à la sensibilité à fleur de peau, qui nous cueille instantanément avec sa proposition d’un rock minimaliste et subtil, aux accents surf-rock, shoegaze, new wave et pop yéyé.

Les quatre musiciens de l’ex-groupe « Fauve » présentent aujourd’hui Magenta, un projet de musique électronique sur des paroles écrites en français.

La nouvelle formation se tourne de son côté vers un style électro-pop, avec pour ambition d’explorer les terrains de l’électro, influencée par la French Touch. Les quatre garçons de MAGENTA ont composé leurs premiers morceaux et quelques clips sont sortis en 2020. Ils définissent leur premier album « Monogramme » comme « de la musique qui danse et qui pense », avec des tracks mélangeant instrus électroniques et des paroles en français. Un changement de style musical et de nom, mais des paroles toujours hypnotiques, fiévreuses, teintées de spleen et de liberté. Avec MAGENTA, les musiciens gardent l’anonymat comme du temps de Fauve et se cachent individuellement derrière le collectif. Un concert qui fait danser autant qu’il emporte dans une poésie moderne !

A la tête de Requin Chagrin, la chanteuse et multi-instrumentiste Marion Brunetto, élevée à Ramatuelle et biberonnée à la musique depuis l’enfance. Elle fonde le groupe en 2015 et nous cueille instantanément avec sa proposition d’un rock minimaliste et subtil, aux accents surf-rock, shoegaze, new wave et pop yéyé. Parmi ses influences, impeccables de bout en bout : Etienne Daho, The Cure, Françoise Hardy, Beach House, La Femme, ou encore Cigarettes After Sex. Le coup d’envoi officiel est donné dès 2015 avec un premier album éponyme prometteur, auquel succèdent Sémaphore en 2019, puis Bye Bye Baby en 2021. Une trilogie qui défend les couleurs du made in France et de toutes les audaces dont est capable cette nouvelle génération d’artistes émancipés et autodidactes.