Il a beaucoup souffert Lucifer

Un spectacle présenté par la Compagnie Si Sensible

Texte Antonio Carmona
Mise en scène Mélissa Zehner
Avec Léa Menahem, Lucile Teche, Thomas Jubert et Valentin Clerc
Scénographie et costumes Analyvia Lagarde
Création sonore Margaux Robin
Création lumière Marie Sol Kim
Régie de tournée Shadé Mano
Chargée de diffusion Christelle Dubuc
Administration Marie De Heaulme

Production : Compagnie Si Sensible
Co-production : Espace 600 Scène Conventionnée Art, Enfance, Jeunesse à Grenoble, Très Tôt Théâtre Scène Conventionnée Art, Enfance, Jeunesse à Quimper, Théâtre Joliette Scène conventionnée Art et Création – expressions et écritures contemporaines à Marseille, Théâtre de Thouars Scène Conventionnée Art et Création, Théâtre Jacques Prévert à Aulnay-sous-Bois, la Minoterie Scène conventionnée Art, Enfance, Jeunesse à Dijon.
Avec le soutien de la Comédie Centre Dramatique Nationale de St-Étienne, de l’ADAMI et de la SPEDIDAM.
L’écriture de Il a beaucoup souffert Lucifer a bénéficié du soutien de la Région île de France dans le cadre d’une résidence d’auteur de longue durée à Bagnolet.
Le projet est également lauréat du dispositif « Création en cours » piloté par les ateliers Médicis et financé par le ministère de la Culture.
Le texte Il a beaucoup souffert Lucifer est publié aux Editions Théâtrales, éditeur et agent de l’auteur.

L’histoire
Et si le diable n’était pas celui que l’on croit ? Et si le diable en l’occurrence n’était qu’un bon petit, victime de tous ? Et si loin de la fourche et des dents pointues, Lucifer n’était qu’un garçon de 10 ans surnommé ainsi par sa classe et martyrisé par elle. Surtout par Gabriel, son ancien meilleur ami. Humiliations, moqueries, violences : tous les coups sont permis pour faire vivre un enfer à Lucifer. D’autant que la maîtresse est plus occupée par son reflet dans l’eau que par ce qu’il se passe dans sa classe. Et si plutôt que de sortir les cornes, Lucifer préférait étudier son bourreau à la loupe pour mieux le comprendre ?
Car après tout, c’est peut-être Gabriel qui va mal ?

Les personnages
Les protagonistes sont deux ex-meilleurs amis aux noms bien connotés ! Gabriel et Lucifer sont deux références mythiques, bibliques, deux anges chéris de dieu. Si Gabriel devient l’ange annonciateur, messager, interface entre dieu et l’humanité, Lucifer est l’ange déchu et rejeté. La métaphore explique parfaitement la situation à l’école.
Dans la classe, c’est la maîtresse qui détient l’autorité et Madame Mademoiselle abuse de ses prérogatives. Véritable dictateur au service de sa soif de reconnaissance, elle utiise ses élèves comme un auditoire captif. Ici, le dieu c’est elle !
Son chouchou, c’est Gabriel, dès le premier jour de cette rentrée des vacances de Noël, et le souffre-douleur de la classe, donc le sien puisqu’elle règne en tyran, c’est Lucifer !

L’histoire
Et si le diable n’était pas celui que l’on croit ? Et si le diable en l’occurrence n’était qu’un bon petit, victime de tous ? Et si loin de la fourche et des dents pointues, Lucifer n’était qu’un garçon de 10 ans surnommé ainsi par sa classe et martyrisé par elle. Surtout par Gabriel, son ancien meilleur ami. Humiliations, moqueries, violences : tous les coups sont permis pour faire vivre un enfer à Lucifer. D’autant que la maîtresse est plus occupée par son reflet dans l’eau que par ce qu’il se passe dans sa classe. Et si plutôt que de sortir les cornes, Lucifer préférait étudier son bourreau à la loupe pour mieux le comprendre ?
Car après tout, c’est peut-être Gabriel qui va mal ?

Les personnages
Les protagonistes sont deux ex-meilleurs amis aux noms bien connotés ! Gabriel et Lucifer sont deux références mythiques, bibliques, deux anges chéris de dieu. Si Gabriel devient l’ange annonciateur, messager, interface entre dieu et l’humanité, Lucifer est l’ange déchu et rejeté. La métaphore explique parfaitement la situation à l’école.
Dans la classe, c’est la maîtresse qui détient l’autorité et Madame Mademoiselle abuse de ses prérogatives. Véritable dictateur au service de sa soif de reconnaissance, elle utiise ses élèves comme un auditoire captif. Ici, le dieu c’est elle !
Son chouchou, c’est Gabriel, dès le premier jour de cette rentrée des vacances de Noël, et le souffre-douleur de la classe, donc le sien puisqu’elle règne en tyran, c’est Lucifer !