Electro organique
jeudi 23 mai à 20h30
Bumcello propose un concert joyeux et inédit. Le duo s’ingénie à ne pas jouer ses disques et à mener des concerts tout à fait fous où tout n’est qu’improvisation et création immédiate ! Aurus est un véritable ovni musical et visuel. Il a absorbé tous les sons du monde. Ses concerts tendent à la performance, laissant les spectateurs extatiques, touchés par la grâce.
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A la fin des années 90, Cyril Atef et Vincent Segal jouent les DJ dans un bar parisien, mais sans platines, uniquement avec leurs instruments, batterie et percus pour l’un, violoncelle pour l’autre. Leur duo s’invente tous les soirs et improvise en fonction de l’ambiance du moment. Ça marche, ça danse et le duo se baptise vite Bumcello. C’est à ce moment que Mathieu Chedid (-M-) les appelle pour former son premier trio. Des concerts mémorables. Les deux compères ont des carrières solo, et pourtant ils aiment se retrouver tous les deux face au public… et s’amuser. Ça fait plus de vingt ans que ça dure ! Et le public en redemande. Car Bumcello ne fait rien comme tout le monde. Un concert de Bumcello ne ressemble à aucun autre concert de Bumcello.
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Bastien Picot, aka Aurus, tisse méticuleusement ses filets pour mieux vous happer dans sa pop électro aux accents tribaux. Laissez-vous faire, tout va bien se passer…
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Si l’enfant du Tampon navigue autant entre son île natale et les différents continents, c’est qu’on se l’arrache, tout simplement. Sa voix est un bijou convoité par les plus grands, tous genres confondus, de Stevie Wonder à Yaël Naïm ou Charles Aznavour, pour ne citer que ceux-là. Et lorsqu’il chante « pour lui », il laisse alors parler son goût pour les ambiances éthérées où sa voix a toute latitude pour briller. Une pop orchestrale et percussive, influencée par le maloya de ses racines, qui évoque Woodkid ou James Blake, autant de comparaisons qu’il peut tenir sans rougir.
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